La politique monétaire s’applique par des agrégats financiers permettant à la Banque centrale d’assurer un niveau de taux d’intérêt à court terme en conformité de la politique mise en œuvre, avec comme objectif la stabilité des prix. La banque centrale n’a pas besoin de changer le volume de la liquidité bancaire et qu’il est indifférent qu’elle fournisse la liquidité. Dans sa politique monétaire, la Banque centrale est le prêteur en dernier ressort.
Les opérations de prêteur en dernier ressort de la Banque centrale, la BCC, a la liberté de faire la politique monétaire conventionnelle, non conventionnelle, la stérilisation monétaire et la non stérilisation monétaire, pour jouer son rôle, ces interventions ont pu différer des prescriptions classiques fournies par la règle de BAGEHOT. ( la banque centrale doit prêter de manière abondante, mais à de taux d’intérêt élevé, afin de désinviter les banques à prendre des risques en mettant en garanties et en pension. Les entreprises peuvent aussi se financer, sans faire appel au crédit bancaire, mais par une autre ingénierie financière de la MOBIELIRISATION (transformer les actifs en titres financiers ) et en mode de l’AFFACTURAGE (moyen de financement des entreprises, assurance, crédit recouvrement de créance), cela ramène une bonne trésorerie.
La banque centrale, elle a le pouvoir d’émettre de la monnaie centrale, monnaie puissante, par plusieurs ingénierie financière (open Market, titres pensions, ….).
Tout cela mettrait en cause la notion du multiplicateur commun aux analyses keynésiennes (liquidité, planche à billets ), politique économique Procyclique et monétariste ( production ) politique économique Contracylique. En contradiction de deux modèles pour une nouvelle modalité de mise en œuvre de la politique monétaire, la création d’un marché Intra-journalier des réserves, apporterait la disparition de la monnaie centrale en expansion.
Les études, relevant que le coût de la production et de la détention des réserves de changes par la Banque centrale étant nul, le taux d’intérêt nominal doit être aussi nul pour éviter un coût non optimal, de la détention d’encaissés réelles.
La politique monétaire a pour objectif aussi de maximiser le bien être pour tous dans une économie. A cet égard, les expériences montrent que la hausse des prix ( inflation ), à un coût et la stabilité de prix constitue la règle de mieux disposer pour la politique monétaire d’une banque centrale.
L’inflation est une taxe sur les encaisses des transactions d’autant plus élevée que l’écart entre le taux d’intérêt cohérent avec un niveau de prix stable et le taux prévalant en situation d’inflation est plus importante. Cette approche du coût d’inflation, usuellement denommée [[ COÛT DE RESSEMELAGE ]], reflète le fait qu’à mesure que l’inflation et les taux d’intérêts s’élèvent, la population cherche à économiser sur les montants des encaissés de transactions comme dans le modèle de cash in advance ( paiement cash ).
Une relation négative entre inflation et croissance pourrait résulter de la performance de chocs d’offres et refléter le jeu des variations omises.
Dans la séparation entre inflation anticipée et non anticipée, la seule chose est l’inefficacité d’une politique de contrôle des taux d’intérêts, qui résultent sur les anticipations, aux effets à long terme de la politique monétaire. Cela nous ramène à dire que dans la politique monétaire d’expansion la hausse ou l’augmentation monétaire ne suive pas habituellement la baisse du chômage.
En ce qui concerne le chômage, la politique monétaire ne peut pas fixer le taux de chômage, pour de raison qu’elle ne fixe pas les taux d’intérêts des marchés, suite aux effets présents et d’avenir incertain. Par contre, il fixe le statut des actes de la hausse de la politique monétaire dans la norme d’une stabilisation inflationniste et aux taux de chômages conjoncturel et structurel. Dans cette optique, l’inflation reste à la disposition des autorités de la politique monétaire, comme but l’emploi ou le chômage. Il n’est pas évident de faire le rapprochement entre l’inflation et le chômage mais risque une partie transitoire de chômage en contre partie de l’inflation.
L’anticipation inflationniste, est un accroissement des effets indirect de l’anticipation d’inflation et réduit le rendement réel après impôts et l’épargne, est un gain perpétuel du PIB, actualisé au taux d’intérêt réel. En cas d’indexation du coût d’inflation anticipée aux salaires, autres, il est conseillé que cette inflation anticipée n’attrape pas d’autres coûts de l’inflation et pourrait nuire les indications anti-inflationniste de la politique monétaire, donnant un handicap pour le reste.
La non anticipation, résulte sur différents aspects non régulés. L’inflation entraîne le partage des encaisses et profits. Par contre, la non anticipation a deux aspects : gagnant et perdant, selon votre position dans la transaction. Les perdants de l’inflation non anticipée sont ceux parmi les plus pauvres. L’inflation non anticipée (INA ), est plus dans l’incertitude dans le taux d’intérêt moyen, long terme. La variation positive plus pour le contrat à court terme, surtout pour les actifs réels.
En plus pour une fluctuation notable, une hausse de chômage de plus de 10 % handicap la hausse des salaires nominaux. Par contre une hausse de chômage de moins de 2 % à 5 % est compatible à une hausse des salaires nominaux, est se rapprocherait à une croissance de la productibilité. La politique monétaire et budgétaire est un canal pour orienter les hausses de prix et les salaires. A chaque réduction d’inflation impact sur le PIB. Dans l’intérêt général, la politique budgétaire est le levier d’une économie directe dans le secteur privé, mais étant solidement ancré dans la politique monétaire dans la norme à fournir le taux d’intérêt le plus bas pour réduire la charge de la dette publique. Dans le privé, l’inflation augmente les primes dans le taux long, fluctuation négative et baisse sur les marchés de changes.
Notons qu’une partie du coût de ressemelage, équivaut à la différence entre un taux d’intérêt nul, taux d’intérêt réel, est perçue par l’Etat sous forme de SEIGNEURIAGE, cela réduit le coût de la vie sociale. Si les recettes de seigneuriage diminuent, au point de disparaître en baisse de l’inflation, donc de taux d’intérêt réel, augmente ou crée une autre recette fiscale. Les seuils au-delà desquels l’inflation réduit la croissance de manière grande est pratiquement importante. Ce seuil est de 1 % à 3 % dans les pays industrialisés et de 7 % à 10 % pour ceux en développement, ce qui corrobore l’idée de coûts d’inflation non linéaires, d’un Activisme monétaire, dans des politiques de [[ GO-STOP ]]. Ce type de politique monétaire a de façon suivante :
LA POLITIQUE DE GO-STOP, est une conséquence de l’inclinaison d’une banque centrale à répondre des préoccupations fluctuantes de la population entre inflation et le chômage. La banque centrale dans sa politique monétaire d’EXPANSION stimulait l’emploi dans sa phase GO du cycle jusqu’à ce que la population se préoccupe de l’inflation.
Alors que une politique monétaire de CONTRACTION de la banque centrale, agressive de taux d’intérêt donnait le départ à la phase STOP, du cycle politique monétaire afin de réduire l’inflation, tandis que le taux de chômage augmentait avec retard. L’applicabilité de la politique non conventionnelle dépendrait de la contrepartie de l’indépendance est la responsabilité de la banque centrale. Il est montré que cette dernière s’appuie sur une conduite transparente de la Banque centrale s’accompagnant d’actions de communication et permettant de renforcer la crédibilité, l’indépendance appelle le plus souvent la prise de décision par un comité de politique monétaire dont les caractéristiques et l’efficacité sont analysées.
Les crises ayant conduit à s’interroger sur la nécessité de réviser la stratégie de politique monétaire, différentes suggestions sont analysées : faut-il mettre un objectif de stabilité financière dans la stratégie ? Un relèvement de la cible d’inflation permettrait-il de mieux faire face aux chocs ? Faut-il fixer une règle en lien avec l’activité réelle, comme le taux de chômage et le taux de participation à l’emploi dans la politique monétaire ?
Pour la coordination entre la politique monétaire et la politique Budgétaire, tant national et international, il serait nécessaire une coordination minimale dans certaines situations extrêmes, la politique monétaire risque d’être en contradiction avec la politique budgétaire. Sur le plan international, une bonne coordination doit mieux être limité, même en cas de situation de fluctuation négative (en cas de régime de change flexible à l’ancrage avec le dollar ). Pour la politique budgétaire nationale, en cas de crise la mise en lumière sur la politique Macro-prudentielle. La transcoordination entre les liens des taux d’intérêts, valeur réelle des actifs et des emprunts, apporteraient une transmission financière aux intermédiaires financiers et canal d’être dans le risque.
En comparaison d’un taux d’intérêt minimum, à la hausse du crédit aux emprunteurs douteux et une prime bas de risque. Cela nous ramène à la cohésion dans un équilibre stable monétaire et financière. Ceci prône sur les effets de la crise sur le mécanisme de transmission : orientations de taux directeurs, ses directives plus difficiles vers les taux des banques commerciales, en détermination du canal des crédits bancaires.
Au cas contraire, ce lien du canal serait inchangé grâce à la mise en œuvre de mesures conventionnelle et, non conventionnelle, de la politique monétaire. (QE) quantitative easing ( injection de liquidité par la banque centrale, ( QT ) quantitative tining ( réduction de la taille du bilan de la Banque centrale dans l’économie réelle. Les instruments non conventionnels de la Banque centrale, conduit aux futurs taux d’intérêt, guidé des taux directeurs d’influencer directement les marchés ( achats de titres ). Leurs objectifs commun est la baisse des taux d’intérêts des échéances éloignées, mais ceux à court terme ont atteint leur plancher.
L’intervention stérilisée de la Banque centrale, la Banque centrale s’engage dans l’opération << Open Market >>, consiste à éviter plus de la monnaie centrale dans l’économie réelle et parallèle. Cette intervention stérilise la monnaie, cela n’affecte pas la hausse de taux de change ni le taux d’intérêt, mais par voie intra-bancaire. Le rendement anticipé sur le dépôt en devise serait supérieur au rendement de l’actif liquide national (monnaie locale).
L’intervention non stérilisé de la Banque centrale, la Banque centrale doit acheter des actifs libellés en devises et vendre sa monnaie sur le marché des changes, si elle veut baisser sa valeur. Une intervention non stérilisée consiste à vendre de la monnaie, en mettant la monnaie nationale en DÉCOUVERTE ( dépréciation ). En procédant à l’achat des actifs libellés en devises. Cela amène une dépréciation de la monnaie nationale et la hausse du stock d’avoir en devise une augmentation d’offre de la monnaie. Il y a aussi l’achat de la monnaie nationale en vendant les actifs en devises. Cela réduit le MBC (monnaie Banque centrale ) et la masse monétaire.
La monnaie aussi est un phénomène monétaire, lorsqu’il agit sur le prix. Son taux d’expansion n’a aucun effet sur les variations réelles en régime précaire à l’exception des encaissés réelles par personne. Dans un régime strict de ciblage monétaire, la Banque centrale doit respecter l’objectif de croissance voulue avec des agrégats monétaires, ensemble avec la croissance potentielle et la vitesse de circulation monétaire.
Le ciblage monétaire de la monnaie doit être pour maintenir l’inflation sous contrôle le liant sur le prix de bien échangés.
La banque centrale dans sa politique monétaire a de limite à ne pas faire, ou des durées limitées : fixé les taux d’intérêt ( achats titres ), par la Banque centrale en augmentation de la BASE MONÉTAIRE et les anticipations, hausse de taux d’intérêt, ou le chômage. La politique monétaire de la Banque centrale ne peut pas être l’objet de la perturbation économique et doit donner une stabilité dans l’économie en réduisant les risques perturbateurs dans les systèmes économique et financier. (inflation anticipée et la non anticipation ).
Ressèment d’inflation d’une approche permanente. Cela amène et permet un taux d’inflation optimal en général par la présence des variations des prix. L’inflation s’accélère par rapport au système fiscal, en mentionnant le coût de la vie avec la production. (salaires, offres, demandes, coûts); cela revient que périodiquement.
En effet, le résultat des prix à l’aspect d’inflation dans l’ensemble est réduit par rapport à celle du coût de la transaction lors des encaisses finaux. L’impact est aussi négatif après encaisse de la transaction négative pour le vendeur avec une monnaie inflationniste (Fcongoalais).
ALS. FINANCES CIF
AIME LAMBALA
CEO
EXPERT EN HAUTES FINANCES,
MACROÉCONOMIQUE, MONÉTARISTE ET
MARCHÉS FINANCIERS
PARIS/FRANCE