Aimé Lambala, Expert en Hautes FinancesAimé Lambala, Expert en Hautes Finances

L’objectif principal d’une Banque centrale doit être la stabilité des prix, cela est le précurseur de l’inflation Targeting moderne. La politique d’objectifs en terme de masse monétaire se révéla être un instrument très utile pour rassurer une inflation élevée à un niveau plus conforme à la stabilité des prix.

Mais elle ne démontre pas d’une grande aide lorsqu’il s’est agi de préserver cette stabilité retrouvée, dans un contexte marqué par des chocs de divers natures et d’amplitude variable ( turbulences sur le marché des changes, volatilité des marchés financiers, incertitudes relatives aux cycles conjoncturels ) qui se produisent à différentes périodes.

Les états garantissant les droits de propriété affichent en général un revenu national plus élevé que les autres pays. La bonne stratégie des institutions du système monétaire et bancaire ainsi que les marchés financiers sont capables de réguler l’économie.

Une bonne monnaie indépendante régule l’inflation dans l’économie.

Pour le Franc congolais, ce qui n’est pas le cas, cela ne constitue pas de manière décisive à la prospérité nationale. La bonne gestion des structures financières ne sont pas le fruit d’un travail d’édification pour tous. Une bonne institution monétaire en Franc congolais devrait se former par Étapes. La plupart des monnaies stables leurs édifications se sont formées durant plus de 150 ans d’efforts pour les développer et les améliorations. Une économie moderne est un système complexe, les institutions doivent être saines et solides dans la durée qui donnerait des forces gagnantes.

Dans la pratique du Policy- mix ( dosage macroéconomique entre la politique budgétaire et monétaire ), les décisions doivent être sur un ensemble des connaissances aussi grandes que sur la conscience des limites auxquelles se heurte notre manière de comprendre le système. Dans une banque centrale, la meilleure manière serait plus consistant à développer et à perfectionner leurs connaissances macroéconomiques.

La bonne source, d’une bonne connaissance d’une économie, résulte sur 3 critères :

La théorie économique

Traite les lois économiques qui guident une économie, telle une main invisible.

L’analyse empirique

La grande couverture dans l’étude, l’observation des marchés, les synthèses des publications, les échanges d’informations entre banques centrales et d’autres structures, en restant plus sur les analyses de données, sur l’innovation, statistique ou la quantitative sur les prévisions.

Les structures monétaires  :

Sont le résultat de plusieurs rapports, études, apprentissage du passés.

Une monnaie se doit d’avoir des références et expériences accumulées sur de nombreuses questions, actuellement, dans un moment de fortes fluctuations sur les marchés monétaires et financiers internationaux retrouvent toute leur existence :

Quel est le rôle de la stabilité politique, budgétaire, et dans la vie quotidienne, dans la réussite d’une monnaie ?

Quelles interactions y a t’il entre la stabilité monétaire, stabilité financière et la stabilité de l’économie réelle ?

Quels sont les avantages et inconvénients respectifs des systèmes monétaires métallique et fiduciaire ?

Quels sont ceux de la concurrence et du monopole en matière d’approvisionnement en monnaie et de fourniture de services financiers ?

Quel est le rôle d’une banque centrale dans un système reposant sur un étalon métallique et dans un système de monnaie fiduciaire ?

Quelle est l’importance de la stabilité monétaire en tant qu’objectif principal de la politique de la banque centrale dans le système de monnaie fiduciaire ?

Quel est le rôle de l’indépendance de la banque centrale par rapport à la politique et aux groupes d’intérêts sociaux ?

Quels sont les avantages et inconvénients des charges fixes et des charges flottants ?

Quelle est l’importance de l’autonomie et de la souveraineté monétaire ?

Quels rôles essentiels de la stabilité politique et budgétaire pour l’émergence de la nation avec sa monnaie. Une monnaie, il faut qu’elle soit stable et plus prisée au monde. La monnaie, pour son appréciation, doit bénéficier d’un bonus d’intérêt, la confiance par rapport aux autres monnaies. Des multitudes d’incertitudes, politique, social, divers sont des facteurs nuisibles pour la stabilité d’une jeune monnaie, le Franc congolais à l’endroit des investisseurs.

Sans une bonne consolidation générale au pays dans les divers secteurs nationaux, sans succès économiques croissants, le Franc congolais ne serait pas une monnaie de placement autonome, forte et d’importance mondiale.

Les autorités politiques doivent avec la volonté de marquée l’indépendance dans la politique monétaire et à la banque centrale, aussi la stabilité budgétaire et Monétaire, qui est toujours caractérisée par l’influence politique. Dans un contexte social et économique fragile, il est difficile de construire et de préserver un ordre monétaire stable.

En RDC, le bon sens national patriotique est l’acceptation de l’autre, l’amour de la nation en premier, qui forcément contribueront à la constitution de la stabilité et la confiance pour le pays. Au Congo, il y’a un écart des réflexions entre les mentalités, la stabilisation monétaire, stabilisation financière et stabilisation dans l’économie réelle. La stabilité monétaire d’un pays que bénéficie une nation résulte sur les plans économique et politique. Par contre l’objectif de la stabilité monétaire, dépendra de la consolidation de deux domaines d’indépendance. LA MONNAIE STABLE ainsi qu’un ORDRE FINANCIER EFFICIENT, figurent parmi les plus importants d’un système socio-économique.

Une monnaie stable doit être le pilier, est un des biens communs les plus importants, au même niveau que les confiances en matières de droit, justice, sécurité publique, de finance ou fiscale. Sans elle, aucun ordre socio-économique libéral ne peut se développer de manière efficace.

Historiquement, une monnaie peu crédible ou instable altère considérablement la performance d’un système économique et peut être le déclin économique et politique.

Une forte et bonne conscience pour l’intérêt national de l’importance fondamentale de l’ordre monétaire, de sa stabilité et de sa fiabilité à l’évolution aux succès économiques et politiques pour le pays ( RDC ).

La monnaie fiduciaire contre monnaie métallique ( Or )

La fin de la parité Or et dollar. Le passage d’une monnaie métallique ( Or ) à la monnaie papier dollar ( $ ), l’adoption des cours de change FLOTTANTS à l’échelle mondiale à la suite de l’effondrement du système de Bretton Woods dans les années 1970. Cette rupture définitive à conduit l’économie mondiale à vivre à CRÉDIT, créations des produits financiers, sans sous jacent, dettes publiques, Or papier, spéculations, manipulations de cours des monnaies de changes, inflations, manipulations de cours en bourse….

Le passage des régimes de change fixes aux cours de changes flottants à augmenter le pouvoir des Banques centrales, tout en élargissant leur responsabilité vis à vis de la population. Avec cette suppression de la parité  ( Or ), partant de la subordination de la politique monétaire obligatoire à l’équilibre de la balance des paiements à l’égard de plein pouvoir à la banque centrale, de bien mener une bonne politique monétaire autonome axée aux objectifs nationaux.

La restriction, est étroitement liée à la circulation de numéraire à la quantité disponible de métaux précieux, et des risques considérables. La libéralisation de la monnaie fiduciaire a plus des causes ( déficit public, inflation, dettes…). Du point de vue pratique, la monnaie – marchandise ou monnaie métallique, sont, au stade actuel, les seuls dont on peut affirmer qu’elles ont fait leurs preuves sur le plan historique dans les économies de marché.

La monnaie métallique ne fournit pas une garantie illimitée de la stabilité. C’est le cas uniquement lorsque les structures réelles du système économique demeurent constantes. Par contre tout écart ou production dans l’extraction du métal ou toute hausse, impulsée par la croissance économique, de la demande supplémentaire et périodique de métal étalon peuvent entraîner des modifications durables du niveau des prix.

LE MONOPOLE MONÉTAIRE , l’état à travers sa banque centrale doit être doté d’un monopole en matière de frappe de monnaie et seigneuriage, d’émission des billets et de réglementation ou, à l’inverse, une libre concurrence entre l’émetteur de la monnaie. Cela résulte au niveau de la création monétaire au moyen de dépôts bancaires.

La monnaie présente les caractéristiques d’un bien public ayant de forts effets de réseau et qu’elle tend donc naturellement à la centralisation et au monopole. ( selon le monétaristes théoriciens ).

La stabilité monétaire, rôle essentiel des objectifs d’une banque centrale dans sa politique monétaire. L’émission d’une monnaie fiduciaire sans contre parti en Or, ni à un autre métal a pleinement changé la position et l’importance des banques centrales. Dans le passé, les règles du système de monnaie métallique, liaient le volume de numéraire en circulation de la quantité disponible de métal – étalon, qui garantissaient automatiquement la stabilité à long terme de la valeur de la monnaie et du niveau des prix.

Aujourd’hui cet approche supprimé, il n’en fut plus ainsi. Garantir et ancrer la stabilité de la monnaie constituaient dorénavant la mission première des banques centrales. Dans un système monétaire fiduciaire la capacité de la banque centrale à créer de la monnaie ( open Market ), et d’émettre de la monnaie est un principe illimitée.

Attention, tout monopole peut inciter à des abus, même celui confié à l’état en matière d’émissions ( Bons et obligations d’état ). Comment doit-on s’assurer que la Banque centrale assure bien sa responsabilité et résiste à la tentation de commettre des abus ou d’émettre des billets en quantité supérieure. Aujourd’hui, le moyen le plus efficace consiste à édicter des normes et des prescriptions constitutionnelles et légales claires, qui contraint l’institut d’émission à assigner un mandat précis à sa politique et à rendre compte de son activité au public et aux instances politiques.

Les banques centrales poursuivaient souvent une pluralité d’objectifs dans leurs mandats : la stabilité des prix, le plein emploi, la croissance, des cours de change stables, l’inflation, et une balance des paiements équilibrée. Mais au fil du temps, s’est imposée que la fixation simultanée de multiples objectifs souvent incompatibles dépasse les possibilités de la politique monétaire et rend le mandat de la Banque centrale aléatoire et vide de tout contenu.

Si l’on attribue par exemple à la banque centrale outre la stabilité des prix, un objectif à long terme de plein emploi et de croissance, on exige d’elle des tâches qu’elle n’est pas en mesure d’accomplir. Le plus souvent, aucun des objectifs n’est atteint au final.

Il est évident et logique de fixer comme principale mission de la politique monétaire l’ancrage à long terme du niveau des prix et, partant, la stabilité des prix c’est-à-dire de placer au centre de la politique monétaire cette tâche que seule la banque centrale est à même de réaliser, à l’exclusion de toute autre instance de politique économique.

Pas comme en RDC, la stabilité des prix revient au Ministère de l’économie.

Pour le système monétaire fiduciaire, assurer la stabilité des prix constitue la mission originelle et prioritaire de la politique monétaire. Ce mandat peut être complété subsidiairement par le souci de veiller à une évolution équilibrée de la conjoncture.

En évitant les processus inflationnistes et déflationnistes, et empêcher ainsi la formation d’anticipations correspondantes déterminent le champs le plus large possible dans lequel la politique monétaire peut se déployer pour accomplir cette tâche supplémentaire.

L’indépendance de la banque centrale par rapport aux pouvoirs politiques et dans la nation entière.

L’autonomisation de la banque centrale, dans un état démocratique, il est évident que l’autonomie ne peut être que relative. Elle est conférée par le législateur, qui peut aussi le retirer. Si elle place la banque centrale hors des contingences politiques et du public, et lui assigne un mandat pour sa politique. Théoriquement il est évident d’avoir une corrélation entre l’autonomie de la banque centrale et la stabilité monétaire. Rien ne laisse penser que ce résultat soit obtenu, à long terme, au prix d’une évolution de l’économie réelle inférieure à la moyenne ou d’une grande instabilité des variations de l’économie réelle.

L’autonomie de la banque centrale est un instrument essentiel permettant d’asseoir sa crédibilité et de mener une politique monétaire libre ainsi que la stabilité monétaire, c’est la condition importante de l’indépendance de la banque vis à vis de la politique budgétaire. Historiquement, le risque que la première soit dictée par la seconde et subordonnée à des considérations d’ordre budgétaire constitue la plus grande menace pesant sur la stabilité monétaire ( RDC/BCC ).

Les régimes de change fixes et flottants, avoir les régimes de changes fixes et flottants, est une vaste expérience. Tant qu’il fonctionne correctement, un régime de change fixes offre des avantages considérables. C’était à l’époque de l’étalon-Or classique, aux débuts du système de Bretton Woods. Mais un régime de change fixes présuppose que les principaux acteurs soient disposés à mener une politique monétaire consensuelle, ce qui implique de s’étendre sur une conception commune concernant les possibilités, les objectifs et les modes d’action de la politique monétaire.

Un tel régime sous-entend un accord non seulement dans le domaine monétaire, mais aussi sur certain paramètres de la politique économique, notamment en matière de stabilité budgétaire et de flexibilité sur les marchés des facteurs de production.

Par manque d’un modèle d’engagement cela entraîne des déséquilibres à l’échelle internationale, insoutenables à long terme, et conduit à des tentatives visant à stabiliser le système au moyen de mesures administratives ( circulation des capitaux, commerce, des restructurations ). Autant de facteurs qui fragilisent le système.

Le régime de changes flottants constituait un moindre mal et que ce régime représente la solution la plus intéressante. S’il est impossible de parvenir à un consensus international, large et fiable, sur la nécessité d’établir une communauté de stabilité, il est préférable, dans le doute, de s’accommoder des turbulences qui peuvent survenir de temps à autre sous un régime de changes flottants, plutôt que s’exposer aux danger d’un système qui serait coordonné en apparence, mais peu crédible en réalité.

La souveraineté monétaire est souhaitable dans ce contexte, car c’est un bien précieux, une option qu’il ne faudrait jamais abandonner à la légère. La souveraineté permet en principe, même en cas d’engagement pris sur la base de changes fixes, revenir à tout moment à une politique dont le cours est déterminé par la banque centrale.

Les turbulences peuvent venir par manque d’une gestion libre et de l’ancrage avec une devise forte ( $ ), pour le Franc congolais.

<< La politique monétaire n’est pas à l’abri de toute erreur et de tout dérapage, car elle est et reste à la fois un métier et un art >>.

Une monnaie ne prend son rôle de moyen de paiement dans l’économie nationale que lorsque est extrêmement faible, mais aussi que les petites devises peuvent coexister avec d’autres bien plus puissantes sans déclencher de processus d’érosion. En effet, l’utilisation de la monnaie est fortement influencée par les effets de réseau, et la gestion parallèle de deux monnaies entraînerait des coûts élevés. Une fois établie, une monnaie ne se laisse pas facilement évincer par une autre plus fort, tant qu’elle reste plus moins stable.

La stratégie de politique monétaire et prévision de l’inflation comme principal indicateur :

En renonçant à fixer des objectifs en terme de la masse monétaire et en adoptant une nouvelle stratégie de la politique monétaire est  meilleure. Le maintien de la stabilité des prix comme mission première. La nouvelle stratégie doit se reposer sur une prévision d’inflation servant de principal indicateur pour le processus de prise de décisions en matière de politique monétaire.

Elle s’appuie sur 3 logiques :

UNE DÉCISION DE DÉFINITION EXACTE DE LA STABILITÉ DES PRIX, cette stabilité est assurée lorsque le renchérissement annuel mesuré à l’aide de l’indice des prix à la consommation est inférieur à 2 % à moyen terme. Il serait mieux aussi de combattre la DÉFLATION, c’est – à – dire une baisse générale du niveau des prix, cette pratique peut-être interprétée de façon pertinente comme délimitant une marge comprise entre 0 % et 2 %.

LA PRÉVISION D’INFLATION PUBLIÉE CHAQUE TRIMESTRE, reposant sur une large assise, et dont l’horizon va de 1 à 3 ans. Elle constitue l’indicateur principal pour les décisions de politique monétaire : si la prévision d’inflation indique un écart par rapport au seuil assimilé à la stabilité des prix, la banque centrale ne réagit jamais mécaniquement à cette prévision, mais prend toujours ses décisions après avoir évalué la situation économique dans l’ensemble. Elle conçoit l’objectif de stabilité des prix comme engagement à moyen terme et se réserve une certaine marge de manœuvre sur le court terme.

LA GRANDE MARGE DE FLUCTUATION (100 pb, points de base, 1 %), pour un LIBOR à 3 mois, le taux le plus important du marché monétaire pour le placement en vue de la mise en œuvre opérationnelle de politique monétaire. Une politique monétaire de contraction ( restrictive ) se traduit par un relèvement de cette marge de fluctuation, et inversement.

La banque centrale doit appliquer sa politique monétaire agissant directement sur le taux d’intérêt à court terme du marché monétaire. Elle doit examiner régulièrement la prévision d’inflation, la marge de fluctuation qu’elle a fixée pour ce taux de référence. Une bonne prévision d’inflation se repose plus sur le taux de référence qui doit être inchangé tout au long de la période concernée. La prévision à donc pour but de déterminer l’évolution des prix dans les conditions monétaires données et constitue aussi un point de référence pour la décision de politique monétaire ( prévision constitutionnelle ).

La banque centrale doit avoir la stratégie avec l’inflation TARGETING ( méthode de fixation d’objectifs en matière d’inflation ). Elle diverse sur plusieurs aspects importants de l’inflation TARGETING au sens étroit. Celui-ci fixe en effet des objectifs d’inflation à court terme, d’année en année, ces objectifs étant de surcroît, dans bien des cas, imposés par le gouvernement à la banque centrale : par ailleurs, il a souvent pour particularité de négliger entièrement l’aspect des agrégats monétaires dans le processus de décision. Donc la banque centrale doit chaque fois existé d’utiliser le terme inflation Targeting lors de son changement de stratégie. Elle doit plus souligner qu’elle s’orientait davantage sur le moyen terme en continuait de prendre en compte la masse monétaire en tant qu’indicateur pertinent pour les prévisions d’inflation ; elle a également rappelé qu’elle pouvait et devait elle-même définir concrètement la stabilité des prix dans le cadre clairement établi de son mandat légal.

La banque centrale se distingue par la fixation d’une marge de fluctuation ( relativement large ), plutôt que d’un objectif défini précis pour le taux de RÉFÉRENCE. Cette pratique répond au besoin de flexibilité à court terme de la banque centrale. La banque centrale doit définir dans quelle circonstance de la marge de fluctuation elle souhaite voir évoluer le LIBOR. Mais se réserve une certaine liberté d’action pour pouvoir faire face à d’éventuelles difficultés passagères sur le marché monétaire et des changes, par exemple en cas de fortes variations des cours de change, sans pour tant devoir annoncer immédiatement un changement de cap de la politique monétaire. Une telle flexibilité est indispensable pour une petite économie ouverte dotée d’une monnaie stable et de marchés financiers importants sur le plan international. La banque centrale qui adopte le LIBOR à 3 mois, comme valeur ciblé, résulte sur la gestion de taux d’intérêt. Cela ramène à choisir un taux d’intérêt à long terme pour le prêts non Gagés qu’elle détermine directement, plutôt qu’un taux de l’argent au jour le jour ( soit un taux sans risque à très court terme ), ce choix contribue à la flexibilité à court terme. Il implique une correction automatique du taux de l’argent au jour le jour en cas de dysfonctionnements passagers sur le marché monétaire et de variations des primes de risque en résultant par le stabilisateur automatique.

La prévision d’inflation et le critères d’évaluation de la nouvelle stratégie de politique monétaire, cette stratégie repose sur la capacité de la banque centrale d’émettre des prévisions fiables sur l’inflation à venir. Les mesures de politique monétaire n’agissent en général sur le niveau des prix qu’avec un décalage de deux à trois ans, ce qui contraint la banque centrale à adopter une version prospective.

La banque centrale pour prendre une décision de l’action qu’elle va mener aujourd’hui, elle doit en effet Prendre comme point de repère non pas L’INFLATION ACTUELLE, mais l’inflation à laquelle on peut s’attendre dans 2 à 3 ans ( inflation anticipée). Cette pratique à plusieurs incertitude de la réalité à venir. L’adoption de formation d’inflation pour des prévisions y compris de modèles structurels de l’économie de pays stable et de divers modèles VECTORIELS AUTO-REGRESSIFS ( VAR ), mais aussi d’un indicateurs complémentaires. Sans sa prévision d’inflation à moyen terme, la banque centrale doit continuer d’accorder une grande importance à l’évolution des agrégats monétaires et de crédit.

La publication des prévisions d’inflation est importante et l’utilisation d’instruments pour établir est primordiale. Elle permet aux acteurs de l’économie de comprendre les décisions de politique monétaire prises par la banque centrale et évaluer les fondements.

La banque centrale doit faire recourt aux meilleurs instruments financiers disponibles pour ses prévisions d’inflation et qu’elle sait utiliser avec honnêteté intellectuelle et discernement. La transparence et la vérification, qui dépendent elles-mêmes d’une communication efficace, sont des conditions essentielles pour garantir la crédibilité et donc la réussite de la politique monétaire.

Lors des crises financières, la banque centrale doit mener sa politique monétaire par des anticipations négatives ( la Covid-19, crise systémique…..), par rapport aux perspectives conjoncturelles. La banque centrale doit faire face aux menaces d’un Krach des marchés financiers interbancaires mondiaux et du système bancaire international, avec des mesures fortement axées sur le maintien et d’un approvisionnement adéquat de l’économie en liquidités.

La banque centrale, par l’appréciation de la devise forte et la dépréciation de la monnaie nationale, cette fluctuation, elle doit faire face pour atténuer les effets de la devise forte en augmentant considérablement les liquidités sur le marché monétaire en devise forte ( $ ), par l’ASSOUPLISSEMENT QUANTITATIF ), au moyen de SWAPS de change (gestion de risques ) et de PENSION des titres ( cession temporaire de titres ). Cette mesure sert au soutien à la monnaie nationale aux fluctuations négatives. ( Mais elle à aussi des risques en cas de forte appréciation de la monnaie nationale ). Avec un cours PLANCHER de la monnaie nationale, en stabilisation des prix, afin d’avoir un minimum de sécurité dans la planification de l’économie et d’offrir une stabilité. Le cours plancher doit être appliqué en cas d’urgence.

Les bénéfices de la banque centrale doivent toujours rester un effet collatéral de ces décisions, qui sont elles-mêmes motivées par la politique monétaire. Il serait fatal que la banque centrale de se focaliser uniquement de son ancrage avec le dollar ( $ ), pour le cas de la banque centrale de la RDC, qui est plus dans la dépréciation du taux de change réel et taux d’intérêt réel. Il convient toujours de garder à l’esprit le mandat de la banque centrale est de garantir une monnaie stable, servant l’ensemble de l’économie, représente une tache statique centrale, comparable au maintien de la sécurité juridique, fiscale, de la Défense.

Dans l’avenir pour la banque centrale en RDC, sa politique monétaire ne devrait plus, se focaliser sur l’inflation et dépense budgétaire, comme auparavant, mais elle devrait également tenir compte de l’évolution des prix des actifs réels, en particulier de ceux de l’immobilier et des dettes publiques, afin de prévenir la formation d’une inflation structurelle monétaire de la dépréciation de la monnaie nationale.

La banque centrale a fortement tendance, à étendre son rôle à la surveillance des finances et des banques commerciales ainsi qu’à la réglementation bancaire. Il faut élargir le mandat de la banque centrale dans le domaine de la stabilité financière en vogue au sein du processus politique de nombreux pays. Il est indispensable que la banque centrale devrait davantage observer l’évolution des prix des actifs réels à l’avenir ( immobilier ), pour réduire une forte inflation dans le secteur immobilier, par manque des transparences.

Les prix des actifs réels avec des variations qui perturbent des informations pour une bonne politique monétaire. Des nombreuses manœuvres au niveau national sans référence des prix juste.

Ils peuvent refléter une orientation différentes sur le marché immobilier à tout moment à la politique menée par la banque centrale, mais également traduire des anticipations d’inflation et conduire à des développements qui, enfin de compte compromettant la réalisation des objectifs ultimes de cette politique de stabilité des prix, conjoncture et stabilité financière. En cas de non observation de la banque centrale l’excédent de liquidités responsable de la formation de bulle spéculative sur le marché immobilier et de service provoquent une hausse des prix et la dépréciation de la monnaie faible le Franc congolais.

GLOBAL CAPITAL FINANCE Sarl

AIME LAMBALA

CEO

Expert en hautes finances, Macroeconomiste, Monétariste et Marchés Financiers.

 

By amedee

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