En RDC, 2 % de la population des ménages utilisent principalement des combustibles et des équipements propres pour cuisiner y compris les cuisinières utilisant l’électricité, GPL/gaz naturel/Biogaz, alcool/ éthanol, et l’énergie solaire. Cette proportion est plus élevée en milieu urbain (6 %) qu’en milieu rural (<1 %). Un congolais sur quatre disposent d’électricité (36 % à Kinshasa contre 4 % en milieu rural). Quatrevingt-treize pour cent de la population utilisent des combustibles et des technologies propres pour l’éclairage tels que l’électricité, la lanterne solaire, ou la lampe de poche/torche/lanterne rechargeable ou à pile.
Le climat en RDC est tel qu’aucun chauffage n’est nécessaire et la grande majorité de la population (87 %) n’a donc pas de chauffage dans le logement. Dans l’ensemble, 3 % de la population utilisent principalement des combustibles et des équipements propres pour la cuisine, le chauffage d’appoint et l’éclairage. >moins de 1%), renseigne l’Enquête démographique et de santé en République Démocratique du Congo (EDSRDC III) que le ministère du Plan vient de publier la semaine dernière.
Un congolais sur quatre dispose d’électricité (36 % à Kinshasa contre 4 % en milieu rural). Quatre-vingt-treize pour cent de la population utilisent des combustibles et des technologies propres pour l’éclairage tels que l’électricité, la lanterne solaire, ou la lampe de poche/torche/lanterne rechargeable ou à pile, révèle la même enquête.
Pour cette enquête, les données ont été collectées en 2023-2024, par sondage, sur les caractéristiques socio-démographiques, les pratiques d’allaitement, l’état nutritionnel des femmes et des enfants de moins de cinq ans, la mortalité infantile, la mortalité adulte et la santé de la mère et du nouveau-né. Au cours de cette enquête, 27 573 femmes de 15-49 ans dans tous les ménages sélectionnés et 12 681 hommes de 15-59 ans ont été interviewés avec succès, soit un taux de réponse de 99%.
La troisième Enquête Démographique et de Santé en République Démocratique du Congo (EDS-RDC III) a été conduite par l’Institut National de la Statistique (INS), avec l’appui de l’École de Santé Publique de l’Université de Kinshasa (ESPK). La réalisation technique de l’enquête a été confiée à une Equipe de gestion composée d’un expert de l’Ecole des Sciences de la Population et du Développement (ESPD) de l’Université de Kinshasa qui a assumé la coordination nationale, des experts de l’INS, de l’ESPK, du ministère du Plan et du ministère de la Santé.
Amédée Mwarabu