Madame la Première ministre, Judith Suminwa, véritable architecte du Programme d’actions du gouvernement Suminwa 2024-2028, incarne une technocrate d’une rigueur et d’une expertise éprouvées, résolument engagée à concrétiser la vision du Chef de l’État, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Son mandat dépasse de loin les enjeux médiatiques.
Ce dernier s’articule autour d’une mission noble et essentielle : l’amélioration tangible des conditions de vie des Congolais, notamment dans les régions les plus reculées du pays. Les réformes qu’elle conduit, en étroite conformité avec les six piliers du programme gouvernemental, visent à stimuler la création d’emplois, à rétablir la paix, à élargir l’accès aux services sociaux de base, à poursuivre les grands projets d’infrastructure, à accélérer la mise en œuvre du Programme de développement de 145 territoires de la RDC. Cela pour renforcer la gratuité de l’enseignement et à diversifier l’économie en privilégiant le secteur agricole.
Pour atteindre ces objectifs ambitieux, la Première ministre s’appuie sur une politique budgétaire méticuleusement t construite axée sur la stabilité macroéconomique, une gestion rigoureuse des finances publiques et une utilisation efficiente et transparente des ressources publiques, comme l’illustre sa lettre d’orientation budgétaire pour l’exercice 2025. Ceux qui la qualifient d’invisible ou s’absente du terrain méconnaissent profondément sa véritable nature : Madame la Première ministre ne cherche pas à briller sous les projecteurs, mais à garantir une efficacité discrète et réelle. Sa carrière, marquée par un passage éminent au Ministère du Plan, témoigne de sa capacité à initier et à conduire des réformes structurelles de grande envergure, avec une maîtrise technique et une compétence administrative inégalées.
Là où certains prônent une approche populiste, elle privilégie une méthode rigoureuse et pragmatique, focalisée sur l’exécution minutieuse des projets et sur des améliorations concrètes du quotidien des Congolais. En tant que leader exceptionnel, elle dirige son gouvernement avec une main de maître, veillant à ce que chaque ministre atteigne les objectifs stratégiques définis dans leur lettre de mission, en restant aligné sur la vision globale. Il serait donc profondément injuste de minimiser ses réalisations sous le prétexte fallacieux d’une discrétion qui, loin d’être une faiblesse, constitue en réalité une marque de sérieux et de dévouement.
La véritable efficacité ne se mesure pas à la quantité de bruit que l’on génère, mais à l’impact durable des actions sur le tissu socio-économique du pays.
Ainsi, ceux qui critiquent la Première ministre gagneraient à concentrer leur attention sur les résultats tangibles qu’elle obtient, plutôt que de se laisser distraire par des jugements superficiels. Madame la Première ministre est bien plus qu’une simple figure politique ; elle est une dirigeante de fond, dont l’humilité n’altère en rien l’ampleur de son engagement en faveur du bien-être du peuple congolais. Ce sont les faits, les résultats et les transformations positives qu’elle impulse qui témoigneront de son efficacité indéniable.
Background d’actions entreprises
Les actions qu’elle a déjà entreprises en un court laps de temps à la tête du gouvernement, notamment la poursuite de la loi de programmation militaire et son soutien indéfectible aux vaillantes Force armée de la République démocratique (FARDC) , la lutte contre la cherté de la vie, une rentrée scolaire apaisée, l’assistance aux populations déplacées, ainsi que le financement par le gouvernement central de la réhabilitation de la voirie urbaine de Kinshasa, pour ne citer que celles-là, témoignent de sa maîtrise précise des enjeux cruciaux.
Elle affine et aiguise ses stratégies avec une minutie remarquable, et il ne nous reste qu’à lui apporter un soutien indéfectible et à lui souhaiter bon courage dans la quête de résultats positifs à court, moyen et long termes.
Trésor Muamba Lalala A
Economiste et Cadre/UDPS